Quand je serai mort,
Mon corps sera inanimé,
Mon âme sera emportée,
Mes yeux ne bougeront plus.
Quand je serai mort,
Ma maison sera fermée,
Ma chambre sera tranquille,
Mes voisins seront étonnés.
Quand je serai mort,
Il n'y aura plus des feuilles,
Il n'y aura plus de verdoyante,
Il n y aura que des herbes séchées.
Quand je serai mort,
Il sera le soir sans soleil,
Il sera la nuit sans lune,
Il sera sombre sans lumière.
Quand je serai mort,
Je serai dans le noir,
Je serai peut-être ailleurs,
Je serai mort sans doute.
Quand je serai mort,
La plus part me dira adieu,
Les autres diront des sympathies,
Les restes ne diront rien, rien.
Quand je serai mort,
Il sera peut-être en automne,
Je dormirai sans se réveiller,
Je déménagerai sous la terre.
Symphorien HAKIZIMANA
(Sherbrooke, 14 février 2006)
[Pensée sur: Quand je serai mort!]
Mon corps sera inanimé,
Mon âme sera emportée,
Mes yeux ne bougeront plus.
Quand je serai mort,
Ma maison sera fermée,
Ma chambre sera tranquille,
Mes voisins seront étonnés.
Quand je serai mort,
Il n'y aura plus des feuilles,
Il n'y aura plus de verdoyante,
Il n y aura que des herbes séchées.
Quand je serai mort,
Il sera le soir sans soleil,
Il sera la nuit sans lune,
Il sera sombre sans lumière.
Quand je serai mort,
Je serai dans le noir,
Je serai peut-être ailleurs,
Je serai mort sans doute.
Quand je serai mort,
La plus part me dira adieu,
Les autres diront des sympathies,
Les restes ne diront rien, rien.
Quand je serai mort,
Il sera peut-être en automne,
Je dormirai sans se réveiller,
Je déménagerai sous la terre.

(Sherbrooke, 14 février 2006)
[Pensée sur: Quand je serai mort!]
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